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Publié par jbicrel

Fabian a remporté la surprise car il est le premier à répondre correctement en modifiant ce récit de coup de foudre amoureux dans La Promesse de l'aube de Romain Gary de telle sorte que le narrateur ne soit plus le héros.

Sa réponse est dans les commentaires. Le roman La Promesse de l'aube est une très belle histoire autobiographique que je vous recommande

« J'avais déjà près de neuf ans lorsque je tombai amoureux pour la première fois. Je fus tout entier aspiré par une passion violente, totale, qui m'empoisonna complètement l'existence et faillit même me coûter la vie. Elle avait huit ans et elle s'appelait Valentine. Je pourrais la décrire longuement et à perte de souffle, et si j'avais une voix, je ne cesserais de chanter sa beauté et sa douceur. C'était une brune aux yeux clairs, admirablement faite, vêtue d'une robe blanche et elle tenait une balle à la main. Je l'ai vue apparaître devant moi dans le dépôt de bois, à l'endroit où commençaient les orties, qui couvraient le sol jusqu'au mur du verger voisin. Je ne puis décrire l'émoi qui s'empara de moi : tout ce que je sais, c'est que mes jambes devinrent molles et que mon cœur se mit à sauter avec une telle violence que ma vue se troubla. Absolument résolu à la séduire immédiatement et pour toujours, de façon qu'il n'y eût plus jamais de place pour un autre homme dans sa vie, je fis comme ma mère me l'avait dit et, m'appuyant négligemment contre les bûches, je levai les yeux vers la lumière pour la subjuguer"

 

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R
Je pense avoir corrigé mes erreurs. <br /> " Il avait déjà près de neuf ans lorsqu'il tomba amoureux pour la première fois. Il fut tout entier aspiré par une passion violente, totale, qui lui empoisonna complètement l'existence et faillit même lui coûter la vie. Elle avait huit ans et elle s'appelait Valentine. Il pourrait la décrire longuement et à perte de souffle, et si il avait une voix, il ne cesserait de chanter sa beauté et sa douceur. C'était une brune aux yeux clairs, admirablement faite, vêtue d'une robe blanche et elle tenait une balle à la main. Il l'a vue apparaître devant lui dans le dépôt de bois, à l'endroit où commençaient les orties, qui couvraient le sol jusqu'au mur du verger voisin. Il ne put décrire l'émoi qui s'empara de lui : tout ce qu'il sait, c'est que ses jambes devinrent molles et que son cœur se mit à sauter avec une telle violence que sa vue se troubla. Absolument résolu à la séduire immédiatement et pour toujours, de façon qu'il n'y eût plus jamais de place pour un autre homme dans sa vie, il fit comme sa mère lui avait dit et, s'appuyant négligemment contre les bûches, il leva les yeux vers la lumière pour la subjuguer."
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J
Il reste trois erreurs !
L
"Il avait déjà près de neuf ans lorsqu'il tomba amoureux pour la première fois. Il fut tout entier aspiré par une passion violente, totale, qui lui empoisonna complètement l'existence et faillit même lui coûter la vie. Elle avait huit ans et elle s'appelait Valentine. Il pourrait la décrire longuement et à perte de souffle, et s'il avait une voix, il ne cesserait de chanter sa beauté et sa douceur. C'était une brune aux yeux clairs, admirablement faite, vêtue d'une robe blanche et elle tenait une balle à la main. Il l'a vue apparaître devant lui dans le dépôt de bois, à l'endroit où commençaient les orties, qui couvraient le sol jusqu'au mur du verger voisin. Il ne peut décrire l'émoi qui s'empara de lui : tout ce qu'il sait, c'est que ses jambes devinrent molles et que son coeur se mit à sauter avec une telle violence que sa vue se troubla. Absolument résolu à la séduire immédiatement et pour toujours, de façon qu'il n'y eût plus jamais de place pour un autre homme dans sa vie, il fit comme sa mère lui l'avait dit et, s'appuyant négligemment contre les bûches, il leva les yeux vers la lumière pour la subjuguer."
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J
Bien sûr, vous avez raison ! Où avais-je la tête ? Merci pour cette observation avisée.
F
Pour minutieux que fût le regard de Josiane Bicrel à la lecture de cette modification, quelque maladroite erreur subsiste en ce texte.<br /> Le pronom personnel de la troisième personne - fût-elle celle du singulier ou du pluriel - complément d'objet indirect suit toujours le pronom personnel employé comme complément d'objet direct.<br /> Partant la proposition « je fis comme ma mère me l'avait dit » devient « il fit comme sa mère le lui avait dit ».
J
Bravo Fabian !
S
"Il avait déjà près de neuf ans lorsqu'il tomba amoureux pour la première fois. Il fut tout entier aspiré par une passion violente, totale, qui l'empoisonna complètement l'existence et faillit même lui coûter la vie. Elle avait huit ans et elle s'appelait Valentine. Il pourrait la décrire longuement et à perte de souffle, et si il avait une voix, il ne cesserait de chanter sa beauté et sa douceur. C'était une brune aux yeux clairs, admirablement faite, vêtue d'une robe blanche et elle tenait une balle à la main. Il l'a vue apparaître devant lui dans le dépôt de bois, à l'endroit où commençaient les orties, qui couvraient le sol jusqu'au mur de verger voisin. Il ne peut décrire l'émoi qui s'empara de lui : tout ce qu'il sait c'est que ses jambes devinrent molles et que son cœur se mit à sauter avec une telle violence que sa vue se troubla. Absolument résolu à la séduire immédiatement et pour toujours, de façon qu'il n'y eût plus jamais de place pour un autre homme dans sa vie, il fit comme sa mère lui avait dit et s'appuyant négligemment contre les bûches, il leva les yeux vers la lumière pour la subjuguer."
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J
Deux erreurs, les mêmes que tes concurrents ! comparez les réponses et les remarques !
R
" Il avait déjà près de neuf ans lorsqu'il tomba amoureux pour la première fois. il fus tout entier aspiré par une passion violente, totale, qui l'empoisonna complètement l'existence et faillit même lui coûter la vie. Elle avait huit ans et elle s'appelait Valentine. Il pourrait la décrire longuement et à perte de souffle, et si il avait une voix, il ne cesserait de chanter sa beauté et sa douceur. C'était une brune aux yeux clairs, admirablement faite, vêtue d'une robe blanche et elle tenait une balle à la main. Il l'avais vue apparaître devant lui dans le dépôt de bois, à l'endroit où commençaient les orties, qui couvraient le sol jusqu'au mur du verger voisin. Il ne peut décrire l'émoi qui s'empara de lui : tout ce qu'il sait, c'est que ses jambes devinrent molles et que son cœur se mit à sauter avec une telle violence que sa vue se troubla. Absolument résolu à la séduire immédiatement et pour toujours, de façon qu'il n'y eût plus jamais de place pour un autre homme dans sa vie, je fis comme sa mère lui avait dit et, s'appuyant négligemment contre les bûches, il leva les yeux vers la lumière pour la subjuguer."
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J
Ah non il reste trois erreurs !
R
Je pense avoir corrigé mes erreurs. <br /> " Il avait déjà près de neuf ans lorsqu'il tomba amoureux pour la première fois. Il fut tout entier aspiré par une passion violente, totale, qui lui empoisonna complètement l'existence et faillit même lui coûter la vie. Elle avait huit ans et elle s'appelait Valentine. Il pourrait la décrire longuement et à perte de souffle, et si il avait une voix, il ne cesserait de chanter sa beauté et sa douceur. C'était une brune aux yeux clairs, admirablement faite, vêtue d'une robe blanche et elle tenait une balle à la main. Il l'a vue apparaître devant lui dans le dépôt de bois, à l'endroit où commençaient les orties, qui couvraient le sol jusqu'au mur du verger voisin. Il ne put décrire l'émoi qui s'empara de lui : tout ce qu'il sait, c'est que ses jambes devinrent molles et que son cœur se mit à sauter avec une telle violence que sa vue se troubla. Absolument résolu à la séduire immédiatement et pour toujours, de façon qu'il n'y eût plus jamais de place pour un autre homme dans sa vie, il fit comme sa mère lui avait dit et, s'appuyant négligemment contre les bûches, il leva les yeux vers la lumière pour la subjuguer."
J
Au moins trois erreurs ! Relis bien !
J
Je pense avoir corrigé mon erreur :<br /> « Il avait déjà près de neuf ans lorsqu'il tomba amoureux pour la première fois. Il fut tout entier aspiré par une passion violente, totale, qui l'empoisonna complètement l'existence et faillit même lui coûter la vie. Elle avait huit ans et elle s'appelait Valentine. Il pourrait la décrire longuement et à perte de souffle, et s’il avait une voix, il ne cesserait de chanter sa beauté et sa douceur. C'était une brune aux yeux clairs, admirablement faite, vêtue d'une robe blanche et elle tenait une balle à la main. Il l'a vue apparaître devant lui dans le dépôt de bois, à l'endroit où commençaient les orties, qui couvraient le sol jusqu'au mur du verger voisin. Il ne puit décrire l'émoi qui s'empara de lui : tout ce qu’il sait, c'est que ses jambes devinrent molles et que son cœur se mit à sauter avec une telle violence que sa vue se troubla. Absolument résolu à la séduire immédiatement et pour toujours, de façon qu'il n'y eût plus jamais de place pour un autre homme dans sa vie, il fit comme sa mère lui avait dit et, s'appuyant négligemment contre les bûches, il leva les yeux vers la lumière pour la subjuguer"
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J
Non, non ! elle est encore là ! et tu en as ajouté une !
M
Il avait déjà près de neuf ans lorsqu’ il tomba amoureux pour la première fois.Il fut tout entier aspiré par une passion violente, totale, qui lui empoisonna complètement l'existence et faillit même lui coûter la vie. Elle avait huit ans et elle s'appelait Valentine. Il pourrait la décrire longuement et à perte de souffle, et si il avait une voix, il ne cesserait de chanter sa beauté et sa douceur. C'était une brune aux yeux clairs, admirablement faite, vêtue d'une robe blanche et elle tenait une balle à la main.Il l'a vue apparaître devant lui dans le dépôt de bois, à l'endroit où commençaient les orties, qui couvraient le sol jusqu'au mur du verger voisin.Il ne put décrire l'émoi qui s'empara de lui : tout ce qu’il sait, c'est que ses jambes devinrent molles et que son cœur se mit à sauter avec une telle violence que sa vue se troubla. Absolument résolu à la séduire immédiatement et pour toujours, de façon qu'il n'y eût plus jamais de place pour un autre homme dans sa vie, il fit comme sa mère lui avait dit et, s'appuyant négligemment contre les bûches, il leva les yeux vers la lumière pour la subjuguer"
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J
Dommage, une erreur, petite aussi mais non moins réelle.
M
Il avait déjà près de neuf ans lorsqu’ il tomba amoureux pour la première fois.Il fut tout entier aspiré par une passion violente, totale, qui lui empoisonna complètement l'existence et faillit même lui coûter la vie. Elle avait huit ans et elle s'appelait Valentine. Il pourrait la décrire longuement et à perte de souffle, et si il avait une voix, il ne cesserait de chanter sa beauté et sa douceur. C'était une brune aux yeux clairs, admirablement faite, vêtue d'une robe blanche et elle tenait une balle à la main.Il l'a vue apparaître devant lui dans le dépôt de bois, à l'endroit où commençaient les orties, qui couvraient le sol jusqu'au mur du verger voisin.Il ne put décrire l'émoi qui s'empara de lui : tout ce qu’il sait, c'est que ses jambes devinrent molles et que son cœur se mit à sauter avec une telle violence que sa vue se troubla. Absolument résolu à la séduire immédiatement et pour toujours, de façon qu'il n'y eût plus jamais de place pour un autre homme dans sa vie, il fit comme sa mère lui avait dit et, s'appuyant négligemment contre les bûches, il leva les yeux vers la lumière pour la subjuguer"
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J
Dommage, une erreur, mais non moins réelle.
J
Voici ce que le texte donne en remplaçant "je" par "il" : <br /> « Il avait déjà près de neuf ans lorsqu'il tomba amoureux pour la première fois. Il fut tout entier aspiré par une passion violente, totale, qui l'empoisonna complètement l'existence et faillit même lui coûter la vie. Elle avait huit ans et elle s'appelait Valentine. Il pourrait la décrire longuement et à perte de souffle, et s’il avait une voix, il ne cesserait de chanter sa beauté et sa douceur. C'était une brune aux yeux clairs, admirablement faite, vêtue d'une robe blanche et elle tenait une balle à la main. Il l'a vue apparaître devant lui dans le dépôt de bois, à l'endroit où commençaient les orties, qui couvraient le sol jusqu'au mur du verger voisin. Il ne peut décrire l'émoi qui s'empara de lui : tout ce qu’il sait, c'est que ses jambes devinrent molles et que son cœur se mit à sauter avec une telle violence que sa vue se troubla. Absolument résolu à la séduire immédiatement et pour toujours, de façon qu'il n'y eût plus jamais de place pour un autre homme dans sa vie, il fit comme sa mère lui avait dit et, s'appuyant négligemment contre les bûches, il leva les yeux vers la lumière pour la subjuguer"
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J
Une erreur, Jeanne, petite mais non moins réelle !