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Publié par jbicrel

Maintenant, en plein ciel, le soleil d’avril rayonnait dans sa gloire, échauffant la terre qui enfantait. Du flanc nourricier jaillissait la vie, les bourgeons crevaient en feuilles vertes, les champs tressaillaient de la poussée des herbes. De toutes parts, des graines se gonflaient, s’allongeaient, gerçaient la plaine, travaillées d’un besoin de chaleur et de lumière. Un débordement de sève coulait avec des voix chuchotantes, le bruit des germes s’épandait en un grand baiser.

Que se passerait-il si on remplaçait "Maintenant" par "Demain" ? 

Léna, Jeanne, Marilou, Marc et  Lison remportent le point joker cette semaine, Ils ont su  nous promettre avec assurance une renaissance ou au moins une nouvelle germination ! Bravo.

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R
Bonsoir <br /> Demain, en plein ciel d'avril rayonnera dans sa gloire ,échauffant la terre qui enfantera.Du flanc nourricier jaillira la vie, les bourgeons crèveront en feuilles vertes, les champs tressailliront de la poussée des herbes. De toutes parts, des graines se gonfleront, s'allongeront, gerceront la pleine, travaillées d'un besoin de chaleur et de lumière. Un débordement de sève coulera avec des voix chuchotantes, le bruit des germes s'epandra en un grand baiser<br /> Ce passage provient du livre Germinal d'Emile Zola
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J
Oui mais attention aussi à l'accent car "s'épandre" n'est pas se pendre !
J
Oui ! Mais tu as oublié "le soleil" et transformé la "plaine" en pleine (mer ?). Attention aussi à l'accent car "s'épandre" n'est pas se pendre !
J
Cet extrait provient du livre Germinal, de Emile Zola.<br /> Voici le résultat: <br /> Demain, en plein ciel, le soleil d’avril rayonnera dans sa gloire, échauffant la terre qui enfantera. Du flanc nourricier jaillira la vie, les bourgeons crèveront en feuilles vertes, les champs tressailliront de la poussée des herbes. De toutes parts, des graines se gonfleront, s’allongeront, gerceront la plaine, travaillées d’un besoin de chaleur et de lumière. Un débordement de sève coulera avec des voix chuchotantes, le bruit des germes s’épandra en un grand baiser.
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D
Demain, en plein ciel, le soleil d’avril rayonnera dans sa gloire, échauffant la terre qui enfantera. Du flanc nourricier jaillira la vie, les bourgeons crèveront en feuilles vertes, les champs tressailliront de la poussée des herbes. De toutes parts, des graines se gonfleront, s’allongeront, gerceront la plaine, travaillées d’un besoin de chaleur et de lumière. Un débordement de sève coulera avec des voix chuchotantes, le bruit des germes s’épandra en un grand baiser.<br /> Cet extrait provient du livre "Germinal" d' Emile Zola.
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J
Bravo ! c'est parfait, Marilou !
M
Demain, en plein ciel, le soleil d’avril rayonnera dans sa gloire, échauffant la terre qui enfantera. Du flanc nourricier jaillira la vie, les bourgeons crèveront en feuilles vertes, les champs tressailliront de la poussée des herbes. De toutes parts, des graines se gonfleront, s’allongeront, gerceront la plaine, travaillées d’un besoin de chaleur et de lumière. Un débordement de sève coulera avec des voix chuchotantes, le bruit des germes s’épandra en un grand baiser.<br /> C’est le dernier chapitre de germinal de Zola… la dernière page.
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J
Parfait. Oui c'est d'ailleurs le passage qui explique le titre !
T
Demain, en plein ciel, le soleil d’avril rayonnera dans sa gloire, échauffant la terre qui enfantera. Du flanc nourricier jaillira la vie, les bourgeons creveront en feuilles vertes, les champs tressailliront de la poussée des herbes. De toutes parts, des graines se gonfleront, s’allongeront, gerceront la plaine, travaillées d’un besoin de chaleur et de lumière. Un débordement de sève coulera avec des voix chuchotantes, le bruit des germes s’épandra en un grand baiser.<br /> <br /> Ce texte vient du livre : Germinal.<br /> <br /> TALBOURDET Lison
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J
Oui mais crèveront n'est pas exactement creveront.
R
Demain, en plein ciel, le soleil d’avril rayonnera dans sa gloire, échauffant la terre qui enfantera. Du flanc nourricier jaillira la vie, les bourgeons crèveront en feuilles vertes, les champs tressailliraient de la poussée des herbes. De toutes parts, des graines se gonfleraient, s’allongeraient, gerceraient la plaine, travaillées d’un besoin de chaleur et de lumière. Un débordement de sève coulerait avec des voix chuchotantes, le bruit des germes s’épandrait en un grand baiser.<br /> Ce passage provient du livre "Germinal" d’Émile Zola.
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J
Ah pourquoi donc mets-tu cette renaissance sous condition alors que j'espérais la certitude du futur ! Tu écris au conditionnel présent la partie "les champs tressailliraient ....des graines se gonfleraient, s’allongeraient, gerceraient la plaine, ...Un débordement de sève coulerait ... le bruit des germes s’épandrait ..."